February 19, 2022 0855 Alors qu'il a fini 6eme de la finale du halfpipe, Kevin Rolland revient de loin aprĂšs son grave accident. Ce samedi, il a d'ailleurs Ă©patĂ© GrĂ©gory Guenet, son entraĂźneur. Panoramic Kevin Rolland revient de trĂšs, trĂšs loin. Victime d'un grave accident une chute de plus de 10 mĂštres survenu Ă La Plagne en avril 2019, le Français pouvait ĂȘtre fier de lui ce samedi, aprĂšs sa belle 6eme place en finale du halfpipe. Dans ces Jeux d'hiver 2022, l'un des porte-drapeaux de la dĂ©lĂ©gation tricolore a tout donnĂ©... Ă en Ă©pater GrĂ©gory Guenet, son entraĂźneur. Je suis hyper content, je suis comblĂ©, je suis fier. Il fait trois runs, Ă chaque fois en amĂ©liorant. Au dernier, il tente ce qu'il peut tenter aujourd'hui samedi. Il le rĂ©ussit, il fait une petite faute mais on s'en fout. L'important, c'est qu'il ait fait ce qu'il avait Ă faire sur les pieds, sans se blesser. La leçon de vie est gĂ©niale. Je repars des Jeux comblĂ©, ravi pour lui », a notamment expliquĂ© ce dernier, Ă propos du natif de Bourg-Saint-Maurice, dans des propos recueillis par L'Equipe. On va aller boire du champagne, profiter » J'y ai pensĂ© tous les Jeux Ă son grave accident en avril 2019. Que ça se finisse comme ça, c'est gĂ©nial. Il fait 6eme des Jeux, mĂȘme si dans le fond, la place, je m'en foutais un peu. Je voulais juste qu'il fasse ce qu'il pouvait faire de maximum avec ce qu'il avait lĂ , son Ă©tat physique. Et il l'a fait. Bravo. Il ne cesse de m'Ă©pater, c'est gĂ©nial. On va aller boire du champagne, profiter, ça va ĂȘtre un beau moment, a par la suite confiĂ© Guenet. Oui, il m'impressionne. Qui fait ce genre de choses ? Qui revient comme ça ? Il n'y a pas beaucoup d'exemples dans le sport et dans la vie. C'est vraiment chouette, c'est forcĂ©ment impressionnant et touchant. Vu que je fais partie de l'aventure, on le vit de l'intĂ©rieur, c'est encore plus fort. C'est un accomplissement... Je pense que c'est peut-ĂȘtre sa derniĂšre compĂ©tition. ForcĂ©ment, il y a tout un truc, une espĂšce d'accomplissement global. Ăa se finit bien, c'est un happy end. » - DerniĂšres actualitĂ©s beIN SPORTS, le plus grand des spectacles S'abonner >
AprÚsavoir été reconnu par la Fédération internationale de ski en 1980, le ski acrobatique est choisi comme sport de démonstration lors des Jeux olympiques de 1988 à Calgary avec au programme Bosses, Saut et Acroski, ensuite lors des JO de 1992 seule l'épreuve de bosses est considérée comme épreuve olympique, les deux autres étant toujours en démonstration avant
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Avec les derniers prĂ©paratifs pour les Jeux olympiques et paralympiques de 2022 Ă Beijing, lâICSO prĂ©sente une nouvelle sĂ©rie dâarticles soulignant comment nous offrons le meilleur soutien en matiĂšre de sciences du sport, de mĂ©decine du sport et de parcours aux partenaires olympiques et paralympiques. La sĂ©rie met lâaccent sur la façon dont lâICSO et ses partenaires sportifs ONPEUT travaillent ensemble pour aider les athlĂštes, les entraĂźneurs et le personnel de soutien olympiques et paralympiques Ă surmonter lâadversitĂ©, Ă sâadapter et Ă atteindre leur potentiel de monter sur le podium. Au cours des deux derniĂšres annĂ©es, le personnel de lâICSO a fait preuve de dĂ©termination et a trouvĂ© des moyens novateurs dâoffrir les meilleurs programmes et services en toute sĂ©curitĂ©; nous avons ainsi amenĂ© les gens et les performances au niveau supĂ©rieur pour CrĂ©erDesChampions. Parce que ONPEUT. â Par David Grossman Quand on grandit au pays du ski, oĂč la neige abonde et la beautĂ© de la nature Ă©merveille, il arrive souvent quâon sâadonne Ă ce trĂšs populaire loisir. Megan Oldham et son frĂšre Bruce le savent bien. Il y a quelque temps, ils ont eu une conversation sur lâĂ©thos du ski dâhiver. Cette brĂšve conversation les a amenĂ©s Ă poursuivre le dialogue, et il sâagissait peut-ĂȘtre lĂ du dĂ©but de quelque chose de gros, voire de phĂ©nomĂ©nal. Le ski dâhiver est une activitĂ© physique qui, selon les archĂ©ologues, est prĂ©sente depuis toujours. Les gens utilisaient auparavant des skis pour traverser les marais et les milieux humides par mauvais temps. Mais le ski a pris une tout autre dimension pour la famille Oldham. Les discussions entre frĂšres et sĆurs peuvent souvent tourner en contestation, en rivalitĂ© et mĂȘme en conflit. Ce nâest toutefois pas le cas ici. Au contraire, il sâest avĂ©rĂ© trĂšs judicieux pour Megan dâĂ©couter les suggestions de son grand frĂšre. Comme le dit si bien le dicton, rien nâarrive pour rien. Megan et Bruce Oldham ensemble sur les pistes de ski quand ils Ă©taient enfants. La photo avec la permission de Megan Oldham. Quand elle Ă©tait jeune, Megan se consacrait au patinage artistique et Ă la gymnastique. Elle a relĂ©guĂ© ces activitĂ©s Ă lâarriĂšre-plan quand elle a constatĂ© le succĂšs et le bonheur que son frĂšre rĂ©coltait sur les pentes. Chacun a une histoire Ă raconter Ă propos dâune chose qui lui tient Ă cĆur, et ces deux jeunes ne font pas exception. Megan sâest initiĂ©e au ski alpin dĂšs lâĂąge de cinq ans. Elle affirme que câest Bruce qui a fait naĂźtre en elle lâidĂ©e de sâĂ©lancer sur les pentes du mont St. Louis Moonstone, Ă environ une heure au nord de Toronto, une station de ski que les membres de la famille ont souvent visitĂ©e. Ils Ă©taient alors loin de se douter que les provocations positives de Bruce permettraient Ă sa sĆur de vivre des moments inoubliables. [Bruce] croyait que jâaimerais le ski acrobatique parce quâil savait que jâaimais beaucoup sauter et tournoyer dans les autres sports que je faisais », se souvient Megan, qui Ă©tait aussi athlĂšte multisports Ă lâĂ©cole secondaire Parry Sound. Lâexcitation, de pair avec les encouragements quâils se donnaient lâun lâautre, a fini par faire effet. Câest seulement Ă son quinziĂšme anniversaire que Megan a vraiment eu la piqĂ»re pour ce sport, pour lequel elle a dâailleurs dĂ» adopter un tout nouveau vocabulaire, comme bosses », sauts aĂ©riens », halfpipes » et slopestyle ». Megan sâest rapidement rendu compte que le sport quâelle aimait tant Ă©tait une discipline aux Jeux olympiques dâhiver. Puisquâelle vivait dĂ©jĂ de nombreux changements et que lâintensitĂ© et lâimpact Ă©taient Ă portĂ©e de main, elle a dĂ©cidĂ© de ne pas se complaire dans la mĂ©diocritĂ© ni de risquer lâindiffĂ©rence. Il nây avait pas de limites, de contraintes, ni dâexcuses. Jâapprenais de nouveaux trucs et jâaimais Ă©normĂ©ment le slopestyle », ajoute Megan, qui a fait sa premiĂšre saison au Timber Tour de lâOntario en 2017. Je voyais bien que mon frĂšre Ă©tait Ă©patĂ©, tellement impressionnĂ© quâil est arrivĂ© Ă me convaincre dâessayer quelque chose. Et ça a trĂšs bien fonctionnĂ©. » Megan se souvient dâavoir eu quelques doutes, mais il nâa jamais Ă©tĂ© question de revenir en arriĂšre. Au dĂ©but, jâĂ©tais intimidĂ©e. Je voyais toutes ces grandes personnes essayer et tomber », explique-t-elle. En plus, je ne me trouvais pas trĂšs bonne. Mais jâavais toujours ce dĂ©sir de continuer dâapprendre. Jâai suivi les traces de mon frĂšre, et câest ce qui mâa donnĂ© la passion et lâadrĂ©naline nĂ©cessaires pour continuer. » Megan et Bruce ont toujours eu la chance dâĂȘtre soutenus par leurs parents, Bonnie et Howard. Ils sont tous deux ravis de lâintĂ©rĂȘt, de lâenthousiasme et du succĂšs de leurs enfants. Megan affirme quâelle nâavait pas du tout vu venir ce qui lâattendait dans les prochaines semaines et les prochains mois. Je suis maintenant une personne trĂšs compĂ©titive, jâai de lâexpĂ©rience sur les pentes, jâai participĂ© Ă des Ă©vĂ©nements majeurs et jâaime vraiment reprĂ©senter le Canada », souligne Megan qui, avec Bruce, reçoit du soutien en sciences du sport et mĂ©decine du sport de lâInstitut canadien du sport de lâOntario ICSO sous forme de prĂ©paration physique et de services thĂ©rapeutiques. Chaque fois que je compĂ©titionne, je vise Ă faire du mieux que je peux et Ă en tirer de la fiertĂ© et une envie de mâamĂ©liorer. » En 2018, les compĂ©titions se sont trĂšs bien dĂ©roulĂ©es pour Megan en Italie et en Californie. Elle a disputĂ© et remportĂ© son premier championnat NorAm en mars cette annĂ©e-lĂ . En 2019, elle sâest classĂ©e en premiĂšre place lors dâun Ă©vĂ©nement en Suisse. Au cours des derniĂšres annĂ©es, malgrĂ© la pandĂ©mie, elle sâest Ă©galement classĂ©e parmi les trois premiĂšres au Big Air de NorvĂšge, au Big Air des X-Games dâAspen et au Championnat du monde de ski acrobatique. Dans sa maison, un assortiment de mĂ©dailles, de statues et dâautres prix trĂŽne dans une armoire. Maintenant que Megan Oldham sâest qualifiĂ©e pour reprĂ©senter le Canada aux Jeux olympiques dâhiver en Chine, elle affirme quâelle y croira seulement lorsquâelle sera au parc de neige de Genting dans la zone de Zhangjiakou et au Big Air Shougang Ă Beijing. Les Ă©vĂ©nements sont prĂ©vus entre le 3 et le 19 fĂ©vrier. Et ce rĂȘve sâest rĂ©alisĂ©. Quelques jours seulement aprĂšs avoir remportĂ© une autre mĂ©daille, dâargent cette fois, aux X Games dâAspen, au Colorado, et 10 jours avant le dĂ©but des Jeux olympiques, Freestyle Canada a annoncĂ© quâelle avait Ă©tĂ© choisie pour faire partie de lâĂ©quipe de 24 athlĂštes qui participera aux compĂ©titions en Chine. Pour elle, dans la compĂ©tition de Slopestyle/Big Air. Meilleur athlĂšte canadien ne faisant pas partie de lâĂ©quipe nationale, Bruce ne participera pas aux compĂ©titions en Chine. Toutefois, il y a de nombreuses façons dâĂȘtre rĂ©compensĂ©, y compris se classer parmi les cinq premiers dans plusieurs compĂ©titions. Il est aussi le plus grand admirateur de Megan, et câest ce qui lâa motivĂ© Ă faire en sorte que sa sĆur se sente bien par rapport Ă son sport. Ce nâest pas pour tout de suite, mais jâespĂšre y ĂȘtre dans les prochaines annĂ©es », indique Bruce, qui figure actuellement parmi les cinq meilleurs du circuit de la Coupe nord-amĂ©ricaine et qui se prĂ©pare en vue des Jeux olympiques dâhiver de 2026 en Italie. Jâai vu dĂšs le dĂ©but que ma sĆur Ă©tait douĂ©e, mĂȘme meilleure que moi. Et aprĂšs lâavoir vue faire des double flips, jâai su quâelle ferait des exploits. Je suis trĂšs fier dâelle et, maintenant, elle me pousse Ă compĂ©titionner Ă un niveau trĂšs Ă©levĂ©. Mon objectif est de finir par la rattraper et dâobtenir dâautres mĂ©dailles. » Megan Oldham en compĂ©tition au Big Air Chur Ă Obere Au, Chur GraubĂŒnden, la Suisse. La photo avec la permission de Megan Oldham. Heather Ross McManus, directrice de la haute performance pour Freestyle Ontario, se souvient dâavoir entendu parler des antĂ©cĂ©dents acrobatiques de Megan, dâavoir vu son entraĂźnement au QuĂ©bec et dâavoir su quâelle avait les qualitĂ©s dâune athlĂšte de haut calibre. [Megan] a Ă©tĂ© nommĂ©e dans lâĂ©quipe nationale avant dâĂȘtre sĂ©lectionnĂ©e dans lâĂ©quipe de lâOntario. Câest dire Ă quel point elle Ă©tait bonne », explique Mme Ross McManus, ancienne athlĂšte de calibre international qui a participĂ© aux Jeux olympiques dâAthĂšnes en 2004 comme membre de lâĂ©quipe nationale canadienne de trampoline. Elle a dĂ©passĂ© les autres en raison de son talent et de son travail acharnĂ©. » Mme Ross McManus a Ă©galement de bons mots au sujet de la relation de travail entre Freestyle Ontario et lâInstitut canadien du sport de lâOntario. Nos besoins et lâexpertise de [lâICSO], ce sont vraiment des liens privilĂ©giĂ©s », souligne-t-elle. Nous avons plusieurs athlĂštes de lâOntario qui compĂ©titionnent avec les meilleurs au monde, et lâICSO, par lâentremise du programme de lâinitiative en sport de haute performance de lâOntario ISHPO, est en mesure de personnaliser des services comme la thĂ©rapie et la prĂ©paration physique pour nos athlĂštes. » Freestyle Ontario, qui profite des conditions mĂ©tĂ©orologiques, exploite des carrefours situĂ©s dans les rĂ©gions de Barrie et dâOttawa, tandis que lâISHPO et lâICSO permettent aux athlĂštes et aux entraĂźneurs de connaĂźtre un succĂšs durable Ă lâĂ©tranger et aux plus hauts niveaux de sport international. David Grossman est un journaliste chevronnĂ©, laurĂ©at de nombreux prix, diffuseur auprĂšs de certains des principaux mĂ©dias canadiens, notamment le Toronto Star et SPORTSNET 590 THE FAN, et professionnel des relations publiques depuis plus de 45 ans dans le domaine des sports et des relations gouvernementales au Canada. Photo de couverture avec la permission de Megan Oldham. Amener les gens et les performances au niveau supĂ©rieur pour Beijing 2022 La sĂ©rie Chapitre 1 Maddie Schizas Chapitre 3 Katie Combaluzier Chapitre 4 Greg Westlake â Personne-ressource pour les mĂ©dias Laura Albright, conseillĂšre principale, Communications & Marketing Institut canadien du sport de lâOntario TĂ©lĂ©phone 647 395-7536 Courriel [email protected] Ă propos de lâInstitut canadien du sport de lâOntario LâInstitut canadien du sport de lâOntario ICSO est un organisme sans but lucratif qui se consacre Ă la quĂȘte de lâexcellence en offrant des programmes, des services et un leadership de calibre mondial aux athlĂštes, aux entraĂźneurs et aux organismes sportifs nationaux et provinciaux de haut niveau, afin dâamĂ©liorer leur capacitĂ© Ă monter sur le podium au niveau international. Notre Ă©quipe de praticiens experts fournit des services de sciences et de mĂ©decine du sport, des services aux athlĂštes, de lâentraĂźnement et du leadership technique pour aider les athlĂštes du Canada Ă remporter des mĂ©dailles et renforcer le systĂšme sportif au Canada et en Ontario. LâICSO fait partie du rĂ©seau des instituts du sport olympique et paralympique du Canada et travaille en partenariat avec le ComitĂ© olympique canadien, le ComitĂ© paralympique canadien, Ă nous le podium et lâAssociation canadienne des entraĂźneurs. LâICSO bĂ©nĂ©ficie Ă©galement du soutien de partenaires financiers tels que le ministĂšre des Industries du patrimoine, du sport, du tourisme et de la culture et Sport Canada.
Leski acrobatique, freestyle skiing en anglais, ne doit pas ĂȘtre confondu avec le ski freestyle, plus rĂ©cent. On les oppose parfois en parlant de old school pour le ski acrobatique et de new school pour le ski freestyle. L'un est un sport de compĂ©tition avec des disciplines olympiques, l'autre (freestyle) est un sport oĂč la convivialitĂ©
La France est un pays de sports dâhiver, câest bien connu. La qualitĂ© des pistes françaises a permis dâaccueillir les Jeux Olympiques dâhiver, les Coupes du Monde de ski dans diffĂ©rentes disciplines et dâautres compĂ©titions de ski. Pas Ă©tonnant donc quâon retrouve en France plusieurs stars des sports dâhiver ! Ils sont la fiertĂ© de notre pays. DĂ©couvrez les champions français en ski les plus connus. Henri Oreiller, le ski alpin Henri Oreiller est le premier champion de ski français. Il a Ă©tĂ© champion olympique de descente et de combinĂ© en 1948 Ă Saint-Moritz. Jean-Claude Killy, le ski alpin En 1968 Ă Grenoble Jean-Claude Killy est devenu le triple champion olympique dans les 3 disciplines de ski alpin le slalom, le slalom gĂ©ant et la descente ! Le grand domaine skiable Espace Killy regroupant les stations de Tignes et de Val dâIsĂšre porte dâailleurs son nom. Il est originaire de Val dâIsĂšre et y a fait ses premiĂšres armes. Marielle, le ski alpin Marielle Goitschel est la double championne olympique de slalom et slalom gĂ©ant en 1964 et 1968. Elle a Ă©tĂ© la championne du monde Ă 7 reprises. Jean-FrĂ©dĂ©ric Chapuis, le ski acrobatique Jean-FrĂ©dĂ©ric Chapuis spĂ©cialisĂ© en ski cross a Ă©tĂ© champion du monde en 2013, champion olympique en 2014 et vice-champion du monde et vainqueur du globe de cristal en 2015. Le superbe triplĂ© quâil a rĂ©alisĂ© aux Jeux olympiques Ă Sotchi est devenu historique ! Edgar Grospiron, le ski acrobatique Vainqueur du classement gĂ©nĂ©ral de la coupe du monde de bosses, Edgar Grospiron est le premier champion olympique de cette discipline en 1992 et a Ă©tĂ© trois fois champion du monde. Martin Fourcade, le biathlon Martin Fourcade est un double champion des Jeux olympiques de 2014. En plus, il a gagnĂ© quatre fois le classement gĂ©nĂ©ral de la coupe du monde de biathlon entre 2012 et 2015 ! Il est aujourdâhui au score impressionnant de 10 titres individuels en Championnats du Monde et 71 victoire individuelles en Coupe du Monde ! GrĂące Ă ses 3 nouvelles mĂ©dailles dâor aux Jeux Olympiques dâhiver de 2018, il est aujourdâhui le champion français le plus mĂ©daillĂ© aux eux Olympiques. Karine Ruby, le snowboard Karine Ruby est devenue la premiĂšre championne olympique de snowboard dans la discipline du slalom gĂ©ant Ă Nagano en 1998. Elle a remportĂ© 6 mĂ©dailles dâor aux championnats du monde de snowboard et 19 globes de cristal durant les diffĂ©rentes coupes du monde. Pierre Vaultier, le snowboard Ce sportif est devenu double champion olympique de snowboard cross en 2014. Il a Ă©galement Ă©tĂ© vainqueur du classement du snowboard cross en 2008, 2010 et 2012. Tus ces grands sportifs ont marquĂ© lâhistoire que ce soit pour eux mĂȘme ou pour la France au niveau international. Certains dĂ©tiennent mĂȘme un palmarĂšs incroyable voire inimaginable ! Peut ĂȘtre serez vous le prochain champion que nous citerons sur cet article dĂ©diĂ© ⊠En attendant, il va falloir vous entraĂźner. Si vous nâavez alors toujours pas rĂ©servĂ© votre sĂ©jour aux sports dâhiver, nâattendez plus pour profiter de nos meilleures offres sur le site Travelski !.